Boris Godounov, et les sublimes trios de Schumann ont rythmé la journée. J'ai éteint la radio. Je voulais que musique ou silence, m'accompagnent. J'ai laissé mes visages en l'état. J'y reviendrai plus tard. Mes hommes allaient prendre chair et mouvement....
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Dehors, la neige, comme un cocon blanc, légèrement antagonique, paralyse à demi la vie. Hier, mon pinceau est revenu, millimètre après millimètre, plusieurs heures d'affilées sur mes têtes. Fatigue. Ce matin, je les ai regardées avec hostilité. Les visages,...
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Belle lumière ce matin pour travailler... Je commence par défaire. Du blanc, pour masquer. Rien ne va bien. Insatisfaite. Ce blanc n'est pas mal en définitive... Précision en bas... Et laisser une part au rêve, pour terminer, en haut de la toile... Qu'elle...
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J'y suis retournée, cet après-midi, avant que les Abattoirs ne remballent les grandes toiles de Vélickovic. Les gens circulaient dans un recueillement palpable, émouvant, ce que jamais, jusqu'alors, je n'avais ressenti dans ce lieu. Surtout, ils regardaient,...
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Impossible d'échapper à ZEBDA, aujourd'hui ! Zebda, Zebda, Zebda, Zebda, Zebda... Devant, derrière, à droite, à gauche ! En enfilade ! Au SECOURS !!! Second tour. C'est écrit. Second tour. Tour de quoi ? Chacun son tour. Au vôtre, à présent !
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Voeux, p as voeux... ? Je n'aime pas les formules toutes faites. Je vous souhaite, non pas une bonne nouvelle année, ou une nouvelle bonne année, mais des rêves, des larmes et des fous rires, de la joie, des peines légères, un zeste d'ennui qui engendre...
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L'illustre théâtre ! Dans un précédent billet sur la féérie toulousaine à Noël, j'avais, sans le savoir, vainement essayé de photographier des trous noirs. Un article de La Dépêche le révèle : Alexandre Marciel, grand illuminateur de la ville rose, reconnaît...
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2 décembre fenêtre de l'avent Voilà le compte à rebours lancé : les illuminations de Noël resplendissent une fois de plus sur la ville rose, dispensant chaleur et poésie... Notre rue Alsace-Lorraine (nos Champs Elysées), est parée, tout comme l'an passé,...
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J'ai découvert le travail de Vladimir Velickovic, il y a une dizaine d'années, en entrant par hasard dans une galerie aujourd'hui disparue "Le Garage". Dans ce lieu un peu étrange, immaculé, mais dans lequel persistait encore cette odeur si particulière...
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Le vent, dehors, s'agace, s'insinue, se heurte furieusement, froisse les arbres, émousse l'âme de la folle éperdue, en bas, dans la rue. Elle tangue, elle se parle, vocifère, interpelle, sursaute, s'arrête, repart à grandes enjambées désordonnées. La...
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